Harry Potter, le retour…
« Harry Potter et L’enfant maudit »
Quand j’ai appris il y a quelques mois qu’un nouveau Harry Potter sortait, hop j’ai sauté sur l’option » pré-commande » en ligne! Ma curiosité est piquée au vif : que peut-il encore arrivé aux personnages après toutes les péripéties des tomes précédents et surtout après la mort de Voldemort ???
Première surprise: c’est une pièce de théâtre… Bon, pas grave, je suis ouverte à tous les genres littéraires….
Mais quand même….
Harry Potter en pièce ce n’est pas la même chose que Harry Potter en livre: pas de descriptions magiques/féeriques, pas d’informations sur la fabrication des potions magiques… Bref il manque ce qui a fait, d’après moi, l’essence des premiers tomes et qui faisait rêver le lecteur.
On retrouve les lieux forts des aventures antérieures : Poudlard et ses dortoirs, Godric’s Hollow et la maison des parents d’Harry, la Forêt interdite par exemple ….On retrouve Harry et Ginny, Hermione et Ron, Drago Malfoy dans le rôle de parents et de gardiens du monde magique mais celui qui occupe vraiment le haut de la scène dans ce livre, c’est Albus, le plus jeune fils d’Harry et Ginny.
Etre le fils d’Harry Potter, ce n’est pas facile tous les jours, et encore moins lorsque le « Choixpeau » vous envoie dans la maison Serpentard alors que tous les autres membres de la famille restent dans la maison Gryffondor, encore moins quand on a l’impression d’être le vilain petit canard d’une famille de super héros..
Albus se lie d’amitié avec Scorpius ( le fils de Drago Malfoy) et essaie, maladroitement, de trouver sa place au sein de cet univers et dans la relation avec son père, Harry.
Un autre particularité liée au style théâtral, c’est que le lecteur n’a pas accès aux sentiments des personnages (juste quelques didascalies, rien d’exceptionnel) et, comme j’aime bien savoir ce qui se passe dans la tête de tous les personnages, je reste finalement avec un arrière-goût de superficialité, notamment en ce qui concerne les angoisses de « mauvais père » d’Harry ou les raisonnements de son ado de fils…
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Il faut toutefois rendre à César ce qui est à César et , en dehors du style théâtral, l’intrigue est bien ficelée, dans la veine des précédents livres et on se laisse emporter, emmener par l’enchaînement des événements.
Pour faire simple, j’ai aimé et je suis déçue en même temps. Bonne lecture! ( et pour ceux qui n’aiment pas lire en anglais, la version française sort le 14 octobre!!!)
Comme quoi je suis à la ramasse ! J’apprends la sortie du livre ici ! Aie aie aie
Et bien hâte de le lire ?
Ha ha ha!!! Mais tu vis sur Mars ou quoi? 😀
Enormes bisous ma chère Jennifer!