Tu as envie de prendre une vraie claque ? De ressortir d’un livre sonné, changé, en te demandant ce que tu vas bien pouvoir lire ensuite ?
Parce que non seulement tu es hanté par les personnages, mais qu’en plus tout risque de te paraître très fade ensuite? Alors… Lis « Nous rêvions juste de liberté » de Henri Loevenbruck.
Toutes les personnes à qui je l’ai offert, prêté, ont eu la même réaction, les mêmes mots, ont vécu le même choc.
« La liberté, il y en a partout. Il faut juste avoir le courage de la prendre. »
Ok… Mais ça parle de quoi ?
Hugo – dit Bohem, Le Chinois, Freddy, et La Fouine : quatre mômes qui vivent à Providence, petite ville offrant peu de perspectives à ces ados un peu paumés, que le système a laissé tomber et qui ne rêvent que de bécanes et de liberté…
Après un passage en maison de correction, ils laisseront tout derrière eux pour un voyage initiatique riche de rencontres et de découvertes au cours duquel ils plongeront dans le monde des MC – Motorcycle Clubs.
« Dans la vie, je crois qu’il vaut mieux montrer ses vrais défauts que ses fausses qualités – vaut mieux surprendre que décevoir. »
Peinture d’une époque, roman d’apprentissage, d’aventure, quête d’idéaux qui coûtent cher, Loevenbruck nous offre un roman dont tu ne sortiras assurément pas indemne, dont chaque page contient une phrase que j’ai eu envie de noter, d’emporter avec moi, de relire…
« Je me disais que peut-être on finit toujours par perdre les gens qu’on aime, et qu’Alex avait sûrement raison de voir seulement la vie en noir, pour pas être déçu. C’est tellement triste quand le bonheur s’arrête que je suis pas sûr qu’il vaille le coup. »
J’ai mis du temps à digérer l’histoire de ces mômes, Bohem m’accompagne d’ailleurs encore très souvent… Il a fait surgir un nombre incroyable de questions : Suis-je libre ? Que puis-je apporter via mon métier à des gamins comme eux ? Aurai-je le courage de vivre ce que je souhaite vivre ? Quelle amie suis-je ?
Il y a tout ça dans ce bouquin… Et plus encore.
Alors, si tu as envie de prendre un uppercut, de te relever sonné, d’éprouver une réelle émotion…. Fonce !
Ah… Derniers conseils…. Ne le finis pas à 23h… Plutôt en journée, c’est mieux… Et… Lis les remerciements.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhh !! J’en rêvais d’un article sur son bouquin que j’ai lu, dévoré, adoré … !
Ben écoute, moi je me le réserve pour les vacances!!!! Bisous ma Cécile!
Pourtant quand j’ai commencé ce livre je me suis dit que la moto ce n’était pas mon truc 😉 et finalement ça m’a retournée 😉 … Mes soeurs l’ont lu aussi, l’une a arrêté parce que ça ne lui plaisait pas et l’autre a tt lu ms n’a pas adhéré…
Je l’ai lu l’été denier …
bises à toi
[…] la lecture de « Nous rêvions juste de liberté » – son dernier roman, j’ai ressenti le besoin de remercier Henri Loevenbruck pour les […]
[…] bouquin (ouais, ouais, j’ai fait suer tous ceux que j’aime avec – et vous aussi! – « Nous rêvions juste de liberté » et ses mômes qui m’ont sacrément questionnée sur mon métier, mais aussi sur ma conception de […]
[…] fait six mois que je tanne tous les gens que j’aime avec « Nous rêvions juste de liberté », je vais désormais ajouter « La Faux soyeuse » à cette courte liste […]
[…] Faux soyeuse » d’Eric Maravélias, « Lux » de Maud Mayeras, « Nous rêvions juste de liberté » de Henri Loevenbruck, « Le Diable, tout le temps » de Donald Ray Pollock, […]
[…] y a un an tout pile, je lisais « Nous rêvions juste de liberté » de Henri Loevenbruck – et… s’il vous plait, j’espère qu’enfin vous […]
[…] l’année 2016 avec ma plus grande claque littéraire de ces dernières années – « Nous rêvions juste de liberté », je l’ai terminée avec cet autre énorme coup de […]
[…] coups de cœur en date : Nous rêvions juste de liberté de Henri Loevenbruck et Le gang des rêves de Luca Di […]