Henri Loevenbruck est un écrivain possédant une importante culture cinématographique, littéraire, historique et musicale.
Hyperactif éclectique, il a notamment été à l’initiative de la Ligue de l’Imaginaire et plus récemment directeur artistique d’un grand festival de bikers – les « Gérarmer Motordays » – réunissant 15 000 passionnés sur trois jours.
Un passionné justement : de bécanes, de comédies musicales, de langue et culture anglaises.
Son prochain bouquin – « J’irai tuer pour vous » – sort en septembre 2017.
Il a gentiment accepté de se soumettre au questionnaire de Lila sur sa Terrasse. Voici ses réponses.
1. Mon Kâma-Sûtra de la lecture (toutes positions autorisées)
Je lis presque exclusivement dans mon bain ou sur un transat.
2. Une île déserte… Une caisse échouée… J’aimerais y trouver…
Un Mojito et Romain Gary
3. Ce livre que je n’ai jamais terminé
En tant que lecteur ? Aucun. Sincèrement. Je crois que j’ai terminé tous les livres que j’ai commencés.
En tant qu’auteur ? Des dizaines avant que je ne sois publié. Depuis, quand je me lance dans un projet, je le termine.
4. Ce livre que j’ai lu, relu et re-relu
La vie devant soi, d’Emile Ajar (Romain Gary)
5. Mes petites ou grandes manies de lecteur
I’m a fucking chain smoker.
6. Ce que je conseille aux non lecteurs
De ne pas se forcer. L’étincelle viendra, ou elle ne viendra pas. Il n’y a rien de plus horrible que de forcer quelqu’un à lire.
7. Ecrire… Sous quelles drogues?
Cf plus haut : nicotine, mais aussi single malt écossais ou japonais, et musique orchestrale.
8. Ecriture intuitive ou réfléchie?
Réfléchie pendant des mois, voire des années. Je suis un maniaque du synopsis.
9. Ce livre que j’aurais aimé écrire
Je vais me répéter, mais tous les Romain Gary.
10. Mes petites ou grandes manies d’écrivain
Le soir, je ne termine pas ma dernière phrase, je la laisse inachevée pour me motiver le lendemain à me précipiter sur l’ordinateur pour la finir.
Je termine mes romans à l’hôtel. Et j’écris le mot fin à la fin, comme dans les vieux westerns.
11. Ma phrase bonne humeur
La Vie est un cabaret.
[…] y a un an tout pile, je lisais « Nous rêvions juste de liberté » de Henri Loevenbruck – et… s’il vous plait, j’espère qu’enfin vous l’avez enfin lu, […]